Pacey Rain Rosewood-Everdeen.

« qui vivra d'espoir, mourra de désir. »

Nom • Rosewood-Everdeen. Prénom(s) • Pacey, Rain Date de naissance • huit mai mille neuf-cent quatre-vingt cinq. Âge • vingt-six ans. Métier/Etudes • co-dirige une boutique de vêtement. Statut Social • mariée. Avatar • rachel bilson. Groupe • i'll be there for you. Crédit • tumblr.

QUALITÉS pétillante. optimiste. drôle. ambitieuse. franche. débrouillarde. DÉFAUTS jalouse. colérique. bordélique. bornée. égoïste, parfois. maladroite. HOBBIES shopping. boire un café avec ses meilleures amies. le cinéma d'Allen & Almodovar. trainer sours la couette avec son mari les jours de pluie. le football américain. encore le shopping. PRÉFÉRENCES les hommes qui ont du cran. la famille, c'est sacré. la nourriture japonnaise. les chaussures. son mari, l'homme de sa vie. son chien Buckley.

Questions pour les enfants répondez en un minimum de cinq lignes, si évidemment votre personnage est un enfant/adolescent.
✖ Quelle relation entretenez-vous avec vos parents ? La famille est pour moi quelque chose de primordiale. Sans elle, je ne serais pas exactement la même. J'ai eu la chance d'avoir des parents extraordinaires, toujours à l'écoute de mes moindres envies et besoins. Il y a mon frère aussi, Ethan, qui est aussi mon meilleur ami. Il a toujours su trouver les mots justes pour me consoler et me conseiller. Pas de doute, je suis tombée dans une famille merveilleuse.
✖ Quel a été votre plus grand conflit ? Mon plus grand conflit restera sûrement le jour où je leur ais appris ma relation avec Rowan. Pour eux, il était inenvisageable que leur fille, leur seule fille puisse avoir une relation avec un homme relativement plus âgé qu'elle. Mais j'étais amoureuse, follement amoureuse de lui, et pour la première fois de mon existence, j'allais leur désobéir. Et au jour d'aujourd'hui, je ne le regrette absolument pas.
✖ Quel est votre meilleure prétexte pour une sortie ou de l’argent ? Ma mère, qui m'a transmis sa passion pour la mode, était sûrement la plus facile à corrompre. Un simple maman, tu ne vas pas me laisser sortir avec ses chaussures-ci, elle ne va pas avec ma robe ! suffisait pour qu'elle allonge les dollars. Et comme j'étais une fille maligne, pleine de ressource et bonne comédienne, les bobards n'étaient pas très dur à trouver. CQFD.
✖ Quel a été le moment le plus embarrassant dans votre vie d’enfant ? Je n'ai jamais eu de moment très embarrassant. Ma mère m'a éduquée de manière à ce que je me tienne bien, en toute circonstance. Bien sûr, la situation s'est gâtée lorsqu'elle arriva à l'adolescente. Je commençais à me dévergonder quelque peu. Une fois, le principal de mon lycée m'a trouvé en charmante compagnie à l'arrière de ma voiture. Autant dire que là, je ne faisais pas la maligne.
✖ Quelle est votre meilleure combine pour sortir en douce ? Mon frère, sans aucun doute. Il m'a toujours couvert, sans poser de question. Bien évidemment je faisais de même. Et bizarrement, mes parents avaient tellement confiance en lui qu'ils ne se posaient pas la moindre question. Encore aujourd'hui, ils ne se doutent de rien.
✖ Comment on fait les bébés ? Question épineuse. Tu préfères quelle version ? Celle des cigognes ? De la petite graine ? La question ne se pose même pas. Tu sais aujourd'hui, internet ça existe hein, tu n'as pas besoin de savoir hein. Allez hop, un suppositoire et au lit !

My Story

∞ je suis Rachel Green maman, et que tu le veuilles ou non, c'est mon Ross Geller.

[justify]Son père faisait les cent pas dans le salon. Sa mère, elle, était assise dans un fauteuil, le regard dans le vide. Cela devenait agaçant. Terriblement agaçant. Aucuns des deux protagonistes ne se décidaient à parler. Cela était lourd, pesant. Pacey était debout, les bras croisés, ne savant pas vraiment quoi faire. Elle cherchait du regard Ethan, mais ce dernier avait la tête baissée. Même lui n'approuvait pas la situation. « Et cela fait combien de temps ? » son père demanda-t-il. Elle tourna la tête. Quelqu'un s'était enfin décidé à intervenir. Elle sentait que la discussion allait être houleuse, mais il fallait bien que ça arrive à un moment ou à un autre. « Quelques mois seulement. » lui répondit-elle, avant de poser son regard sur sa mère. Elle fulminait, littéralement. Elle allait exploser à un instant à l'autre. C'est sans sa réaction qui lui faisait le plus peur dans le fond. Elle avait tellement peur de la décevoir, elle, celle qui l'avait le plus soutenue dans ses choix. « Il en est hors de question. Bon sang, qu'est-ce qui te passe par la tête Pacey, il a vingt-deux ans, tu en as seize, tu ne pensais pas tout de même qu'on allait approuver cette relation ! » s'exclama-t-elle, en la regardant pour la première fois depuis le début de la conversation. C'était évident, elle l'avait vu venir. Pour Amélia Rosewood, elle n'était encore qu'une enfant, son bébé. Elle n'allait pas le laisser la voler comme ça. Pacey soupira. « Je ne cherche en aucun cas votre approbation. J'aime Rowan, c'est comme ça. » rétorqua-t-elle, très calmement. Elle n'avait en aucun cas envie de se mettre sa famille à dos, car elle était le plus important à ses yeux. Ted Rosewood regarda sa femme, puis fit signe à son fils qu'il fallait qu'ils sortent. Amélia devait avoir une conversation avec sa fille, seule. Pacey vint s'asseoir auprès de sa mère. Elle se devait de crever l'abcès avec sa mère, pour leur bien à toute les deux. « Je ... Je sais que ce n'est pas facile pour toi. Mais l'amour, c'est comme ça, ça te tombe dessus, ça t'électrise, ça te rend vivant, invincible, tu crois que rien ne pourra t'arriver. Ca te rend dingue. Et moi je suis complètement folle de lui... La façon dont il me regarde, qu'il me sourit, de me protéger. Je suis heureuse maman. Et tu m'as toujours dis que le premier homme qui pourra me rendre le même sourire enfantin que lorsque papa prenait soin de moi serait le bon. Je suis Rachel Green maman, et que tu le veuilles ou non, il est mon Ross Geller. C'est mon âme soeur, j'en suis sûr. » lui expliqua-t-elle. Voilà, elle avait vidé son sac. Des secondes, des minutes s'écoulèrent sans un bruit. Elle l'enlaça, et posa sa tête sur son épaule, comme lorsqu'elle était enfant. La vie était ainsi faites. Des joies, de déceptions et de surprises. Elle était tombée sur la bonne personne, elle en était aujourd'hui sûre.

∞ ça y est, je porte la vie Ivy, Rowan et moi ne faisons plus qu'un...

Quarante-cinq minutes. Cela faisait quarante-cinq minutes qu'elle attendait dans cette salle. Et elle commençait à s'impatienter sérieusement. Bon sang, elle était venue ici pour une foutue gastro, pas pour un check-up ! Au bout d'un moment, le médecin se décida tout de même à pointer le bout de son nez. Elle lui adressa un sourire plutôt anxieux, et le regarda s'asseoir. « Très bien madame Everdeen. J'ai les résultats de vos examens. Il ne s'agit pas d'une gastro. Toute mes félicitations, vous allez être maman très prochainement. » lui dit-il, un large sourire sur les lèvres. Au même moment, elle avait l'impression qu'on venait de lui assener un coup de massue derrière la tête. Quoi ? Un enfant ? Ce n'était pas vraiment le moment adéquat. Les relations avec Rowan était tendue. Et il avait raison de ne plus lui adresser la parole. Elle était plus que honteuse après ce qui s'était passé entre elle et Shiloh. Oh mon dieu, Shiloh. Ce n'était pas lui le père ?! « Qu.. Quoi ? Enceinte ? De combien de temps ? » lui demanda-t-elle. Le médecin se replongea dans son dossier, puis releva la tête par la suite. « A première vue, cela fait quatorze semaines maintenant. » lui répondit-elle. Le soulagement reprit le pas sur l'angoisse. Cela ne pouvait être Shiloh le père. L'enfant était bien un Everdeen.
Complètement déboussolée, elle déambulait dans la rue. Elle ne savait plus quoi penser de la situation. Rowan refusait de lui parler pour le moment. La communication était rompu entre eux. Elle repris ses esprits. Elle sortit son téléphone puis appela la seule personne qui saurait l'écouter. « Ivy, je ne savais pas vers qui me tourner, je ... je ... Ca y est Ivy, je porte la vie, Rowan et moi ne faisons plus qu'un... Je l'aime déjà, tu peux pas savoir à quel point ... » lui dit-elle, son rire se mélangeant à ses larmes. Confuse, heureuse, angoissée, elle ne savait pas comment elle allait l'annoncer à Rowan. Elle ne voulait pas qu'il croit qu'elle faisait ça pour qu'il revienne. Cette enfant, c'était le fruit de leur amour, elle voulait qu'il soit présent, pour toute les étapes de la grossesse, et de la vie de ce bébé. C'était lui, le seule et l'unique.

Spoiler: