My Story

Il y a des vies qui sont marquées par un trop plein d'obstacles semblent trop successifs pour pouvoir les passer sans problème et qui donnent envie de renoncer parfois. Ce n'était pas mon cas, j'ai une enfance enjouée et je ne me souciais qu'a courir dans l'herbe et sentir l'air marin alors que certains observait leur bonheur déjà prendre le large. Oui j'étais du genre à manger mes céréales avec mes frères Je rigolais tout en regardant le bonheur que nous et nos parents partageaient. J'aimais ce bonheur qui me rendait heureuse. Mon père , ma mère, mes frères. Je pouvais les observer pendant des heures, j'ai toujours aimer observer le monde qui m'entourait. Je courais partout et la seule chose qui pouvait me caler c'était d'observer les passent, d'être la première à se hâter devant quelque chose de nouveau, d’intrigant. La vaillante et intrépide Dylan, plus courageuse qu'une armée ou un équipage de marins. J'adorais m 'imaginer un tas de chose, faire vivre mes peluches et faire croire à mon cadet que j'avais le pouvoir de parler aux plantes et aux animaux. Chaque soir avant de me coucher j'étais collée soit à mon grand-frère ou mon père leur demandant pourquoi je n'étais pas un garçons, leur racontant ce que je m'étais imaginer la journée ou ce que j'avais appris, puis mon père me couchait et me disait toujours de continuer à rêver. J'étais capricieuse et demandait toujours à ce que l'on m'amène jouer avec mes frères au foot tandis que mes parents auraient préféré que je joue à la poupée. Non j'étais toujours prête à faire les activités masculine que féminine. Je détestais que ma mère me coiffe et m'habit de jolie vêtement car je savais que cela m'obligerait à jouer sagement à la poupée. Une fouine, j'ai toujours été une fouine. Alors que je n'avais qu'une dizaine d'année il fallait toujours que je me mêle de ce qui ne me regarde pas. Bien entendu à chaque fois ça m'apportait des ennuis, mais c'était plus fort que moi j'y retournais la tête la première. J'adorais savoir tout sur tout apprendre, je jouais toujours au espions avec mon grand-frère et traînait mon petit lorsqu'il avait la capacité de nous suivre. Nous en avons fait des bêtises, nous avons ris . « Vous promettez de ne pas mentir ? » mes frères et moi nous nous regardons avec un air malicieux puis comme toujours j'étais leurs portes paroles, celle que les parents croyaient toujours. « Moi ? Je ne ment pas, je ne suis pas politicienne. » je regardais mes frères et du haut de mes dix ans j'haussais les épaules.« Eux non plus! Et si monsieur terreur vous avoue que nous crions dans une cheminée chemin de travers faut pas le croire, il nous déteste!! » nous avions l'habitude de toujours nous en sortir avec nos yeux de petits chiens battus. Nous avions tous eux une enfance radieuse et sans encombre. C'était une belle époque: « L'enfance trouve son paradis dans l'instant. Elle ne demande pas du bonheur. Elle est le bonheur. » de Louis Pauwels.

J’ai jamais été une fille extraordinaire, je n'avais pas de bonnes notes, j'étais obligés de réviser pour avoir la moyenne, de m’entraîner pour pouvoir réussir, j'étais simplement une personne sportive. J'avais cette atout et je faisais toujours en sorte de me rattraper dans cette matière. Les garçons aimaient me choisir dans leurs équipes et lorsque j'étais dans une équipe elle pouvait compter sur moi. Oui, à l'école je n'étais ni excellente ni médiocre, j' était dans la moyenne hormis en sport où je sortais du lot. J'étais nulle dans des matières qui m'ont alors coincés dans le choix de mes études, moi qui voulait devenir astronaute à été cloué au sol, on m'a coupé les ailes avant que je prenne mon envole. Mon adolescence fut alors plus dure que mon enfance, j'ai dû quitté très tôt mes rêves et mon insouciance de petit fille qui rêvait encore des licornes sautant sur des nuages. Je suis donc sortit de mes rêveries même si parfois je reposais mon regard dehors observant les oiseaux et les passants. J'étais dans la norme tandis que mon grand-frère excellait et pouvait faire ce qu'il rêvait. Le proverbe quand on veut on peut m'est alors ôté des mains, car malgré tous mes efforts je n'ai jamais pu être une génie en mathématiques. J'ai fait avec, j'ai raillé le mot astronaute de ma liste à vœux, à rêves et j'en ai rajouté un. J'ai pleuré mais j'étais encore suffisamment jeune pour encore rêver.
Et un jour l'amour me tombe dessus. Il arrive au bras de ma meilleure amie, elle me le présente et un regard suffit pour vous rendre accro. Une alchimie s'empare de nos cœur aussi vite et ne nous lâche plus. C'est idiot le premier amour, nous croyons tous qu'il dura éternellement, nous nous laissons des promesses qui ne seront jamais tenus, nous croyons à l'éternité alors que nous avons seulement dix huit ans. Dès que je l'aperçois, un sourire ce fond sur mon visage. J'ai l'impression que c'est une illusion une fille certes mignonne comme toi mais si banale n’intéresse pas ce genre d'homme, puis je me dis que je ne suis pas du genre à me sous-estimer ainsi. Je suis sportive et mignonne, ça en attire des garçons. Il est là à me regarder avec ses yeux remplis d'amour, j'espère juste que ce n'est pas une illusion, que je ne me trompe pas. « Je t'aime. » Je lui murmures ses mots que je n'avais jamais prononcé. Je me sens légère et libérée, ou amoureuse tout simplement. Je découvre ce sentiment pour la première fois et je rentre dans ma bull alors que d'habitude je suis si ouverte. Je n'ai plus qu'une envie et je trouve ça bête car j'ai toujours dénigré l'amour. Mais j'ai envie de rester à ses côtés, danses bras. Moi qui est toujours craché au nom de l'amour, désormais je suis aussi gaga que mes amies. Mais j'ai juste envie d'enfouir mon visage dans son coup tandis que je sais ses bras serrer mon corps. « Pour moi,» Ses paroles si franches m'avaient transpercé le cœur. j'avais scellé vos lèvres. Ce soir-là, lui avait offert ma virginité. D'un côté j'avais toujours rêver et attendu ce moment, désespérément assise à ma table côté fenêtre car je regardais dehors je pensais à l'amour et quand il allait me tomber dessus.
Souriante, je fixe le fixe en chantonnant. Lui, il est assis à son bureau terminant une dissertation qu’il doit rendre le lendemain. Lui travaillant tout le temps et moi tire au flanc ne prenant jamais un stylo. Je finis par descendre mes yeux sur lui, le dévorant presque du regard. « Dylan révise toi aussi »… Sa voix me distrait de ma rêverie, alors que je me redresse sur son lit décontenancée. « Oh...mais à quoi bon je finirai poissonnière comme on père j'ai le pied marin...ou éplucheuse de patate. » il lève ses yeux de sa feuille et pose son stylo, nous n'avons rien en commun quand nous regardons, trop calme pour moi m'a t'on dit. « Dylan, tu ne finiras pas éplucheuse de patate si tu réussi ton examen d'entré... De plus c'est insensé. » toujours assise sur son lit, je joue légèrement avec les draps sur mes jambes. Je déteste lorsque l'on parle de mon futur, je me sens une vulgaire chose fragile sans futur alors que tout le monde en à un. «Je réussirai mes examen ce n'est pas un problème» il soupire et se lève, je déteste lorsqu'il me juge du regard, je croise mes bras sur ma poitrine. « Révise toi !  » il pose un genoux sur le le lit, et pose ses mains sur mon visage pour me forcer à le regarder. «  c'est toi qui me dis ça ? Si tu reste là à me regarder... je ne peux pas. » je le pousse légèrement en hochant la tête positivement, il grimpe sur le lit. « Je te distrait , je m'en vais. » dis-je en posant mes mains sur son torse et me levant du lit. J'attrape mon short sur le sol. « Finis ta diserte. » je me noue les cheveux il tend le bras pour essayer d'attraper mon poignet. « Reviens. » j'hausse les épaules enfilant mes basket. « c'est toi qui disait qu'il fallait être sérieux je me trompe. » tant qu’il réussit lui, du reste on s'en fou.

[justify] « T'es chiante ma parole dégage » Sa voix énervée me fait soupirer, depuis quand nous en sommes arrivés là ? Depuis quand nos mots d'amours sont remplacés par de la haine ? Nos baiser échangés par des cries ? Nos bons moments par des mauvais ? Nous somme de simples spectateur observant la destruction de notre amour. « Si tu pouvais si ce n'est qu'une minute être une autre ça me changerait la vie. » je croise mes bras sur ma poitrine, enfonce mes ongles dans ma chair pour retenir mes larmes, je ne peux pas le regarder dans les yeux, je n'aime pas lorsqu'il a un regard si antipathique. « Je ne peux pas. » dis-je tout bas, comme je ne peux ignorer le fait que ses amis m'ont dis l'avoir vu avec une autre fille. « Tu sais le nombre de sacrifice j'ai fais pour toi ? » Il me pointe du doigt, les veines de ses tempes gonflent. Pour lui je suis la fautive car je fais soit disant pas d'effort pour solliciter cet amour, pourtant je ne fait que ça. Je pose mes prunelles dans les siennes qui n'ont plus cette lueur d'amour. « J'ai... J'ai même résister à la tentation pour toi, je ne t'ai pas trompé et toi tu me remercie en faisant ça ? » Je reste bouche bée un instant, je lâche un petit rire nerveux par ses propos. « Tu veux que je te félicite car tu ne m'as pas trompé avec cette fille ? » les larmes me montent au yeux, il me traite comme si je n'étais rien. « J'y crois pas. » murmurai-je nerveusement, je repousse ma chevelure, mes mains tremblent d'énervement. « Oh bravo de ne pas m'avoir trompé, je te félicite tu as compris les principes d'un couple. » j'applaudis, oui je le provoque, je sais qu'il est capable du pire comme du meilleur, je sais aussi qu'il déteste qu'on le prenne de haut, chose que je fais. Nous continuons à nous balancer des méchancetés, lui hurle, je parle toujours calmement, les rôles sont échangés. « J'ai honte d'être avec toi.  » nous échangeons un regard, il me lâche le bras tandis que je baisse la tête, il vient de dire ce qu'il ne fallait pas. Il m'a toujours fais la promesse qu'il sera celui ne me fera jamais pleuré, celui dont je ne lui offrirai jamais ce regard remplis de désespoir. Et pourtant à cet instant il a droit à ce regard désespéré et ce sourire dévasté. « Très bien. » dis-je en empêchant mes larmes de coulés. « Nous nous sommes tout dis. Nous en avons finis.» je recule de quelques pas retenant mes nerfs de lâchés, j'attrape mon manteau et le serre entre mes doigts. « Je ne te ferai plus honte ainsi. » je pose ma main sur la poignée, il ouvre la bouche pour prononcer des mots. « Dyl.. » je secoue la tête, je n'en peux plus, nous savons tous les deux que cela ne mènera plus nul part. « Adieux Matt. » et notre histoire c'est finit ainsi cependant, les mauvaise nouvelles n'arrive jamais seule. Pourquoi a t'il fallu que tout s’enchaîne ? Que je me sépare mais que je sois encore lié à lui par ce qui est dans mon ventre ? Je devrai le dire à ma parents, j’espérai juste leur soutient au lieux de leur colère. Oui en l'espace d'un moi j'ai tout perdu, mon amour et mes parents. « Hors de ma vue fille indigne, tu n'aurai jamais dû être née !!! Vas t'en avec ton bâtard dans le ventre. » j'ai fait mes valises et je suis partie. Mon père ne m'a soutenu qu'en m'offrant de l'argent pour avortée, mon petit frère est restés impuissant. j'ai appelé mon grand-frère, lui seul peut m'accueillir « J'ai vraiment besoin de toi. » à l'autre bout du fil sa voix endormi ne me demande pas ce que j'ai accepte alors ma demande. Il me dit que je dois le rejoindre en Alaska, quelques jours plus tard j'y suis.


Une lumière trop brutale et un plafond m’accueille, mes crient souffrance face à la souffrance de cette luminosité inhabituelle. Avant de pouvoir enfin fixer le plafond de la pièce, sans avoir à les refermer. Un bruit incessant ne semble pas s’atténuer. Avalant ma salive, j’ai une impression horrible, j'ai la langue pâteuse comme si je n'avais pas bu depuis des heures. Un bruit de porte me détourne de cela alors que je baisse les yeux vers le bout du lit, un homme en blouse entrant en trombe avec une infirmière. Je ne comprends rien, j'essaye de me souvenir ce qui m'est arrivée. Je commence à avoir mal partout, je déteste cette impression d'impuissance, ma respiration s’accélère. J'ai besoins d'air poussez-vous, dégager, partez. Je veux juste que vous me laissiez seule, je crie le nom de mon frère, je ne veux voir que lui. Il est là sur le pas de la porte, le visage fatigué. l'infirmière l'écarte, le médecin me parle, je lui réponds sans comprendre. « Mademoiselle vous avez eu un accident. » ça me revient ça y est : Un soir j'ai pris la voiture pour faire quelque courses. Dans l'automobile, je fixe la nuit déjà tombée sur la ville, alors que je porte l'enfant du garçon dont je suis amoureuse, les larmes aux yeux. Je ne vois rien arriver. Ni le 4x4 camion en face, ni le bruit de ses freins. Ce n’est que le klaxon, la violence du choc, l’intensité de la projection qui dure..Trop longtemps alors que je sens la cage de métal où je suis, glissé sur la chaussé, et tourné tourné comme un manège sans fin. Puis plus rien. Combien de temps je suis là ? Et le bébé ? J'ai tant de questions qui me traversent la tête aucune ne sort. Mon cœur rate quelques battement, je suis complètement paniquée. Les mots des médecins me reviennent, un mois. Un mois que je suis dans cet état ? Je...je me rend alors compte que je n'ai plus aucune vie dans mon ventre.


[justify] « On ne dirait pas comme ça mais elle a eu une période difficile. » souffle mon ami alors que je me suis absentée pour aller au toilette, par inadvertance j'ai entendu ses propos alors je trottine jusqu’à lui et pose brutalement mes mains sur ses épaules. « Ne raconte pas n'importe quoi ! » dis-je avec un grand sourire, j'ai toujours eu un très fort mentale. Même si pendant deux années je n'étais plus que l'ombre de moi-même grâce à mon frère et des amis géniaux qui sont venus me rejoindre en Alaska à cette période j'ai sur remonter la cotte. Lorsque l'on me regarde comme ça, personne ne peut se douter que je n'ai presque plus aucun contact avec mes parents, que j'ai perdu un enfant et désormais je ne peux plus en avoir. Tout ceci s'est passé il y a maintenant Deux ans et ça fait quatre ans que j'ai quitté mon pays natale. Désormais je travaille dans une chocolaterie,

Jenna-Louise Coleman, je la connais pas du tout mais qu'est-ce qu'elle est belle ! Et puis Dylan Golden, je trouve ça beaaaaau ! Tout ça pour te souhaiter la bienvenue parmi nous ! J'espère que tu vas te plaire ici et que tu nous feras pleins de beaux bébés joufflus. Bonne continuation pour ta fiche et si tu as la moindre questions, nous sommes à ton entière disposition !

Rowan S. Everdeen a écrit:

J'espère que tu vas te plaire ici et que tu nous feras pleins de beaux bébés joufflus.

Dylan G. Sorenson a écrit:

Merci Rowan, ne t'en fais pas je tâcherai de trouvés le bon mal pour avoir les bébés parfaits

Très bien ma belle, c'est noté ! Je ne te punirai pas. Je veux bien punir ta connexion internet, si tu veux ! Très bien, tu as donc jusqu'à mercredi prochain. Et bon courage pour tes devoirs !