Abigaël Hermione Wellworth

« On a pas besoin d’un conte de fée, on a juste besoin de quelqu’un avec qui on est bien. »

Nom • Wellworth. Prénom(s) • Abigaël Hermione. Date de naissance • Née le trois mars. Âge • 17 ans. Métier/Etudes • Lycéenne. Statut Social • En couple Avatar • Vanessa Hudgens. Groupe • I miss you. Crédit • Tumblr.

QUALITÉS Souriante Aimante Intelligente Réfléchie Protectrice Joyeuse DÉFAUTS Trop sûr d'elle Pourrie-gâtée Autoritaire Capricieuse Sensible Rancunière HOBBIES Faire du Shopping Chanter et jouer de la musique Dépenser beaucoup d'argent Faire la fete Faire la commère Faire du jogging PRÉFÉRENCES Aime passer du temps avec ses amis Déteste qu'on lui refuse quelque chose Adore qu'on s’intéresse à elle Ne supporte pas d'être seule Aime son petit-ami Est hétérosexuelle.

Questions pour les enfants
Quelle relation entretenez-vous avec vos parents ? Je me suis toujours parfaitement entendu avec mon père bien qu'il n'était jamais là. Il a toujours tout fait pour me rendre heureuse et combler l'absence de ma mère. D'ailleurs, en parlant d'elle, j'ai une relation très négative avec Azur. Je sais qu'elle ne voulait pas de moi à la naissance, mon père me l'a dit et je lui en veux terriblement. Maintenant qu'elle veut recoller les morceaux avec moi, je veux bien lui faire comprendre que je ne suis pas un jouer qu'on prend et qu'on jette.
Quel a été votre plus grand conflit ? Mon plus grand conflit... Sûrement quand mon père m'a apprit qu'il était de nouveau avec ma mère et que nous quittons Hollywood pour aller vivre chez elle, j'ai craqué. Je me suis mise à tout casser dans le salon et à lui hurler toutes les insultes que je connaissais, je ne voulais pas la revoir et pire, je ne voulais pas quitter mon monde pour elle. Aujourd'hui encore, la tension du à la dispute avec mon père est encore présente.
Quel est votre meilleure prétexte pour une sortie ou de l’argent ? En réalité, je n'ai pas réellement besoin de prétexte. Mon père me laisse tout faire et j'ai une carte de crédit avec plus d'un million de dollars dessus, je suis une personne assez riche. Alors moi je n'ai pas besoin de trouver d'excuse bidon pour sortir faire la fête ou avoir de l'argent, je n'ai qu'a envoyé un message à mon père pour ne pas qu'il s'inquiète quand il rendre et voit la maison vide.
Quel a été le moment le plus embarrassant dans votre vie d’enfant ? Je ne sais pas... C'était peut-être le jour où, quand j'avais huit ans, je me suis fait pipi dessus devant des photographes et la photo à fait le tour du monde. Tout ce monde autour de moi m'avait effrayé, tous ces flashes et autres trucs de célébrités. J'étais avec mon père, il me tenait la main et nous rentions à la maison. Quand je me suis fais pipi dessus, je me suis mise à pleurer et il m'a prise dans ses bras pour me rassurer.
Quelle est votre meilleure combine pour sortir en douce ? Je vous l'ai déjà dis, je n'ai pas besoin de sortir en douce, je peux aller n'importe où à n'importe quelle heure. Mon père n'arrive pas à me dire non et donc, me laisse sortir à tout heure de la nuit. Je peux même, sûr un coup de tête, partir à trois heures du matin à Paris dans son jet privé. Pratique non ? Je suis sûr que vous êtes jaloux... Bon.. Si vous êtes sympas avec moi, je vous prends mais attention ! Pas de nourriture à bord.
Comment on fait les bébés ? Ben c'est simple ! Tu mets pas de préservatifs ! Nan plus sérieusement tu veux des détails ? Mais je vais pas te raconter ça comme ça enfin, c'est pas à moi de faire ton éducation... Si tu veux je te paie un professeur d'éducation sexuelle qui va tout t'expliquer mais moi je peux pas, c'est trop la honte. Et puis quand même, à ton âge, tu dois bien savoir non ? Te fous pas de ma gueule hein ! Sinon je vais m'énerver et ça va très mal aller pour toi. Bon allez, zut ! Dégages avec ta question idiote !

My Story

Trois Mars à l'hôpital de Maanosa.

Le calme complet, l'apaisement d'un monde inconnu, mais pourtant réel. J'étais moi, mais moi n'était pas encore ce que j'étais. J'étais dans une bulle, un cocon, une protection m'entourait, mais je la sentais se casser, se défaire. J'allais tomber je le savais, je n'en avais plus pour très longtemps. Ça bougeait autour de moi ou plutôt c'est moi qui bougeai, c'était très étrange toutes ces sensations. Je me sentais poussé hors de mon nid, mais je résistai, je m'accrochai de peur de ne plus être dans mon nid tout chaud, et soudain la pression qu'on exerçait sur moi se relâcha. Mais on ne me laissa pas tranquille pour autant, on m'embêtait encore et cette fois on m'attrapa. Je cris, je n'arrivai plus à respirer, je m'étouffai, j'avais besoin d'aide, j'avais besoin de ma bulle mais, elle n'était plus là. D'un seul coup, l'air entre dans mon corps, cela me faisait terriblement mal, mais, je n'avais pas le choix, on ne me laissa pas le choix. Puis vient une lumière qui m'aveugla, moi qui ai toujours vécu dans le noir voilà quelque chose de blanc, de clair et puis des couleurs, des visages étaient autour de moi, on me regardait, mais je ne savais pas où je suis, j'avais peur. Perdu, voilà le mot qui me définissait, je ne savais que faire ni quoi penser, tout ce que je voulais c'est qu'on me laisse en paix et dormir. Quelque chose de chaud m'entoura mais, je ne voyais pas ce que s'était. Brusquement je ne voyais plus rien, ça faisait trop mal. Je me mis à pleurer et j'entendis d'autres cries de larmes, je n'étais pas seule, ma mère était là, celle qui m'avait accompagné pendant ma formation. Soudain je l'entendis, la voix qui m'était tant familière, que j'ai écouté pendant neuf mois. Et maintenant je compris, j'étais enfin moi.

2 Septembre à Maanosa.

Aujourd'hui c'était le grand jour, j'allais enfin à l'école pour la première fois de ma vie. J'allais quitter ma mère pour aller avec des inconnues. Je me préparai ou plutôt, maman me préparait pour que je sois toute jolie et bien coiffé. Quand elle eut finie je me retournai vers ma mère, celle qui a toujours été là pour moi, je lui sautai dans les bras et murmurai-je.

« J’ai peur d’aller là-bas, je veux pas qu’on soit séparé… »

Je vouai un culte inestimable à ma mère. Je me sentais énormément proche d’elle et je n’avais jamais été séparé d’elle. Enfin nous partîmes tous ensemble pour l’école et je deviens de plus en plus nerveuse. Je pris la main de ma mère dans la mienne et je la serrai fortement ce qui me rassura. Quand nous arrivâmes à l’établissement je me mise à pleurer en m’accrochant désespérément à ma mère. Je ne voulais pas me séparer d’elle, bien qu’elle tentait de me calmer et de me rassurer comme elle le pouvait, rien n’y faisait, je restai inconsolable. Au bout d’une dizaine de minutes, voyant que je n’étais pas près de laisser ma mère repartir sans moi, une dame me prit de force et m’emmena dans la classe. Ce fut une déchirure pour moi…

28 Mai à la maison des Wellworth, Abigaël a deux ans.

« Viens là ma chérie, je vais te raconter ma rencontre avec ta mère. »

J'avais toujours voulu savoir cette histoire mais, mon père m'avait toujours dit qu'il me la raconterait plus tard. Cette fois j'allais enfin savoir ce qui s'était passé entre eux. Il me raconta que c'était un soir d'hiver, qu'elle rentrait toute seule. Lui ne savait pas trop où il allait et il courait dans tous les sens pour faire passer le temps. Ils s'étaient rentrés dedans et cela avait été le coup de foutre, ma mère était tombée dès le premier regard fou de lui. Et quelques années après j'étais née, j'avais vu le jour dans l'hôpital de Maanosa...

13 Mai, maison des Wellworth, Abigaël a seize ans.

« Voyons Aby, tiens-toi droite ! Tu ne pas être aussi gentille et intelligente que ta cousine ? Regarde-là, elle est parfaite ! Prends exemple sur elle ! »

Comme d'habitude ma gouvernante me faisait des reproches. Je n'étais jamais assez bien pour elle, je n'arrivai jamais à la cheville de ma cousine. Aussi loin que je m'en souvienne, j'avais toujours été dans l'ombre de ma cousine, je n'avais jamais réussie a être la préférée de ma gouvernante. Pourtant, je faisais tout ce que je pouvais, je passai mes journées a faire tout ce qu'elle demandait, à me montrer polie et mature. Je n'allais jamais jouer avec les autres enfants, je restai tout le temps avec ma gouvernante. Ma cousine, quand à elle, était très méchante avec moi, elle me mettait toujours des bâtons dans les roues pour rester meilleure que moi. Je me rappelle d'une fois quand j'avais cinq ans, ma cousine m'avait enfermé dans la voiture toute la journée pour faire croire à notre père que j'avais oublié son anniversaire. Depuis ce jour, j'ai juré de devenir la meilleure en tout.

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