(+) All the lights go down as I crawl into the spaces
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Théoden A. Hopkins
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Sujet: (+) All the lights go down as I crawl into the spaces Mer 7 Aoû - 20:02
théodenavery² hopkins
«I'll be a story in your head. But that's OK. We're all stories in the end. »
Faut que je me présente, c’est ça ? Et si j’en ai pas envie d’abord ? Ouais bon, ça va, j’ai compris. Je m’appelle théoden avery hopkins et j’ai vu le jour à Weymouth le 20 Septembre 1981. Comment ça, ça m’fait quel âge … tu n’sais pas compter, c’est ça ? C’est moche. J’ai 32 ans et toutes mes dents, enfin je crois. D’après ce que je sais, je suis anglais. Ah, c’est que t’es cash toi. Eh bien figures-toi que je suis célibataire et que j’aime les femmes. Oh je t’ai pas dit ! Je travaille en tant que cryptologue. Et quel est mon groupe ? C’est une très bonne question … je pense que j’appartiens plus aux I'm better off without you.
Tell us more about you ;
Mettre checked="checked" devant le type="checkbox"> de votre réponse. Noël en famille ? Quelle corvée ! Quel bonheur ! Un jour comme un autre. Euh je sais plus, j'ai oublié. Merci la morphine.
Sans vous, votre famille... Quelle famille? Elle s'en sortira très bien. C'est peine perdue. Ils trouveront bien quelqu’un d’autre sur qui se reposer.
Si vous deviez comparer votre famille à une célèbre famille ; vous seriez plutôt : Les Ewing, un chapeau de cowboy et des guns à la place des yeux, on est né pour s'éclater les dents. Les Ingalls, tout est beau, tout est joli. On est toujours d'accord, et quand on ne l'est pas, on fait la paix autour d'une tarte et d'un air de violon. Friends, comme les six héros de la célèbre série, vous n'avez pas pu choisir votre famille, mais plutôt vos amis. Et c'est sans doute mieux comme ça. Les Grimes, la vie n'a pas toujours été évidente pour vous. Beaucoup de drames, de pertes, et pourtant, vous vous serrez les coudes comme vous pouvez. Les Clarke, votre famille n'est qu'un pâle souvenir de la vie d'autrefois. Vous êtes seuls par choix ou par obligation.
Si vous aviez pu choisir un métier : Ingénieur : vous êtes un génie vous le savez. Archéologue : Harrison Ford n'a qu'à bien se tenir. Astronaute : vous avez la tête dans les nuages. Artiste : vous êtes une rock star et c'est tout.
Quelle est votre idylle idéale ? Chuck & Blair : du sang, des pleurs, mais une belle fin. Blanche Neige & Le Prince Charmant : un amour destiné. Chandler & Monica : des meilleurs amis devenus amants. Katniss et Peeta : se faire prendre à son propre jeu sans s'en rendre compte.
Quel a été le moment le plus embarrassant de votre vie ? « Un léger froncement de sourcil, le moment le plus embarrassant ne se conte jamais, évitons toute moquerie ou reproche. Parlons donc d’un fait embarrassant, le pire sans doute pas. Il a toujours eu une intelligence décuplé, largement supérieur aux autres. Mais enfant il a été incapable de répondre à un quizz, tout simplement qu’il était question de littérature pour enfants de son âge, de dessin-animé. Lui ne s’est jamais intéressé à ces choses. Il se souvient encore de cette mauvaise note qui l’a alors poussé à demander à ses parents d’acheter ceci et cela. Tout le monde s’est moqué de lui car il ignorait qui était les fidèles acolytes de Mickey. Ou le nom du petit lion, simbad, simba, mufasa, toujours pas .. Il a supprimer cette simple information. »
Si vous pouviez être un personnage Disney, lequel seriez-vous et pourquoi ? « A cette question un sourire apparaît sur ses lèvres, voilà longtemps qu’il ne s’est plus posé cette question, si il ce l’est déjà posé, il n’en a aucun souvenir. Enfant il s’intéressait trop rarement à ces dessins-animés qui étaient censé le divertir. Mais ayant reçu une certaine éducation, il finira sans doute par répondre le premier nom qui lui vienne en tête : Archimède. Légère mimique. Est-il de Disney? Existe-t-il ? Il n’en a aucune idée. Il devait fournir bien une réponse ? »
Comment fait-on les bébés ? « Doit-il fournir une réponse scientifique ou simplifié ? un léger froncement de sourcil. D’une voix suave il utilisera les mots suivant : homme, femme, cellules, spermatozoïdes, ovules, lit (ou rapprochement intime, proche), fécondation, bébé. Pour former des phrases simples, que même un simple d’esprit puisse comprendre. Il ne s’attardera sans doute pas sur le sujet, les explications aussi futiles l’agace quelque peu. S’il n’était pas doté d’une certaine diplomatie il aurait répondu sans aucun gène : allez acheter un livre, voir quelqu’un d’autre ou chercher sur internet. »
Si vous deviez choisir une destination pour vos prochaines vacances, quelle serait-elle et pourquoi ? « Partir en vacances ? pourquoi faire ? C'est tellement ennuyeux. Il n'aime pas mettre son esprit au repos, il a besoin de le stimuler et ce n'est sans doute pas en s'en volant vers des plages paradisiaques qu'il le pourra. Il s'ennuie trop facilement et serait sans doute difficile à vivre, il voudra faire une activité qui stimulera son intellect. Il n'aime pas ne rien faire. Partir en vacances le rendrait exécrable. Les plages au sable blancs ne lui dit rien, encore moins les transats sous le cocotier. Il faut donc chercher un endroit où il ne s'ennuiera pas. L'Amérique du Sud peut-être »
Behind the screen ;
Pseudo/prénom : citrus, mimi . Avatar : cumby. Âge : 20 ans. Présence : ça va varier entre 3 et 5 . Comment trouves-tu le forum ? moche superbe, le violet c'est une vie. Où l’as-tu connu ? a vous de le savoir, une le sait déjà :arow:. Le mot de la fin : here.
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[b]BENEDICT CUMBERBATCH [/b] [color=#cc3333]Ҩ[/color] [i]theoden a. hopkins[/i]
Dernière édition par Théoden A. Hopkins le Sam 10 Aoû - 21:33, édité 8 fois
Théoden A. Hopkins
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Sujet: Re: (+) All the lights go down as I crawl into the spaces Mer 7 Aoû - 20:02
Ohana means family. Family means no one gets left behind ;
1989
Ses prunelles bleu océan plongées sur un livre illustrés pour enfant « Ennuyeux. » souffle-t-il en fermant le bouquin, qu’il abandonne sur la petite table en bois. Il se lève à la recherche d’un livre qui puisse l’occuper, en pleine fouille dans la petite bibliothèque, ses doigts en attrapent un.« Theo, chéri peux-tu venir un instant. » ses boucles brune suivent le mouvement de son visage enfantin. Un léger soupir et il part à la rencontre de sa mère, elle a toujours l’habitude de passer ses longs doigts vernis dans ses bouclettes. L’enfant regard l’inconnu assis dans le salon, il fronce les sourcils et lance un regarde interrogateur. « Theoden je te présente ton nouveau frère, Louis. » il pose ses prunelles sur le petit garçon, à peine plus jeune que lui. « Mais maman, il n’est pas sorti de ton ventre ça ne peut pas être mon frère. » dit-il avec une certaine innocence, aucune méchanceté, il n’arrivait simplement pas à élucider le problème qui s’offrait à lui. Un frère ? Comment est-ce possible ? il ne peut pas. Elle se baisse à sa hauteur, caresse ses joues. « Mon Theo, tu comprendras un jour qu’il ne suffit que je mettes au monde un enfant pour qu’il soit ton frère ou ta sœur. » sur ses mots elle l’invite à ce qu’il vienne à sa rencontre son père le pousse légèrement. « Ne sois pas timide Theo la famille s’agrandit temporairement. » lui dit-il avec un large sourire, le concerné lève les yeux vers son père et s’approche du petit garçon qui allait être son frère. Craintif, il ne peut se faire à l’idée qu’un inconnu sois son frère, mais après tout pourquoi pas. « Bonjour. » dit-il entendant sa main vers le gamin qui lisait une bande-dessinée, heureux comme un pape, il attrape sa main vivement. « Heureux de te rencontrer Theoden. » il lui rend se sourire, jetant encore un coup d’œil à ses parents, heureux de cette première rencontre. Sa tête posée sur les genoux de sa mère, la main de celle-ci faisait des vas et viens dans la chevelure de son fils. « Maman. » dit-il en rompant ce silence plaisant, l’enfant se redresse alors pour plonger ses prunelles dans les siennes. « Pourquoi vous accueillez des enfants ? Je n’aurai jamais un vrai frère ou une sœur ? » la main de sa mère se pose sur sa joue, elle lui sourit tendrement. Tant d’incompréhension, il ne comprend toujours pas la raison qui pousse ses parents à accueillir des enfants. Il croit peut-être que c’est sa faute, qu’il n’est pas l’enfant dont ils ont rêvés, qu’il les a sans doute écœuré de faire un autre enfant. « Nous voulons simplement faire le bien Theo, tant d’enfants sont triste autant le rendre heureux non ? » il baisse son regard, réfléchit. Il n’y avait jamais pensé rendre heureux des enfants qui n’ont pas eu la même chance que lui : d’avoir des parents aimants. Il ouvre légèrement la bouche pour articuler une quelconque réponse et la referme, réfléchissant encore à la question de sa mère. « Si je comprends bien, toi et papa préférez simplement rendre des enfants heureux que d’en faire ? » Il finit par sourire et haussé les épaules « Ça me va. » sa mère dépose un baiser sur son front lorsqu’il reprend sa place initiale. « Louis va partir alors ? » un sourire penaud, elle murmure une faible réponse à son fils. Louis partit quelques mois après.
1993
« Je suis Angel. » elle est là dans le couloir, ce sourire magnifique accroché à ses lèvres. Elle tend sa main vers lui, qu’il regarde sans la saisir. Il avale simplement sa salive remettant la bretelle de son sac glissant sur son épaule. « Theoden. » dit-il faiblement, en prenant enfin cette main tendue. Il finit par lui lâcher et s’éloigne dans sa chambre, sous le regard de la jeune fille qui le regard s’en aller. Theo a ce mal fou à aller à la rencontre des autres, il a toujours été ainsi, tapi dans son coin. Ce moquant bien de ce que les autres peuvent penser de lui, parfois le génie donne une impression des autres fades. Car ils ne fonctionnement simplement pas comme lui, ne réfléchissent pas aussi vite. « Vas présenter tes excuses à Angel. » il baisse ses prunelles, jugeant qu’il n’a rien fait de mal, il se lève sans pour autant discuter sur la chose. « Fais des efforts Theo, elle est ta sœur. » il finit par lâcher un soupir, et il se tourne vers sa mère légèrement contrarié. « De toute façon elle va finir par partir. » Un ton froid dont il a irrité de son père, sa mère soupir à ses paroles. Des débuts difficiles, c’est devenu ainsi avec lui. « Je t’ai vraiment mal jugé. » lui dit-elle alors qu’il l’aidait sur un devoir de mathématiques. Il fronce les sourcils posant ses prunelles sur cette dernière. « C’est souvent ainsi. » dit-il en élucidant cet exercice sur lequel Angel bûchait depuis quelques minutes. Elle lui affiche ce large sourire qui à cet effet bénéfique sur les gens. « Je suis vraiment désolée. » elle pose sa main sur la sienne, se rendant compte qu’il apportait plus d’importance à ses calculs qu’a ses paroles. Il lui sourit légèrement à ce contact. « Ne t’en fais pas j’ai l’habitude. » il baisse ses yeux de nouveau sur le devoir. « Tu ne veux pas savoir ce que je pensais de toi ? » il lève ses belles prunelles vers elle, s’il n’avait pas un aussi radieux qu’elle, ses yeux quant à yeux vous perçaient jusqu’à la moelle. « C'est tellement simple à deviner. » dit-il d’un ton amusé, elle fronce les sourcils et le tape sur l’épaule.
1995-2002
« Oh toi là ! » une voix sèche, masculine aucune raison pour qu'il lève ses prunelles plongées sur sa lecture. Il reste impassible, trop peu de personnes avait droit à son intention en classe. « Je te parles. » il lâche un soupire et lèves ses prunelles sur son nouvel interlocuteur. « Je sais » Dit-il froidement, quittant du regard ce gamin, bien qu'il soit du même âge pour Theo c'était un enfant stupide. « Alors pourquoi tu ne réponds pas ? » simple d'esprit songe-t-il, un léger sourire étire les lèvres du brun, qui sans détacher ses prunelles de la phrase qu'il lisait. « Je n'en vois pas la peine. » une main balance son livre au travers de la salle de classe, peut-être devait-il changer ses méthodes de communications. « Tu m'écoutes maintenant ? » il arque un sourcil en regardant son camarade de classe. « Pourquoi le devrais-je ? » il se lève ignorant complètement le garçon, par énervement ce dernier le pousse. « Tu m'énerves avec tes petits airs de con. » un sourire étire ses lèvres, ce n'est pas lui qui avait de telles expressions, mais bien son interlocuteur, il préfère ne rien dire sur ce fait. « Tu frôles le pathétisme. » souffle-t-il à son camarade, qui par colère lui assimile un coup, il ne pensait pas qu'il en soit capable, mauvais jugement. « Tu as intérêt à ne plus t'approcher de Blake. » et il se retire en claquant la porte, Theo se relève effleurant l'hématome apparue sur sa joue. Il lâche un soupire, voilà ce que cela lui a apporté d'aider son prochain. Quel dommage il appréciait cette fille. « Ciel, Theo que t'es-t-il donc arrivé ? » s'exclame sa mère en attrapant son menton entre ses doigts, les prunelles dans les siennes il hausse les épaules. « J'ai aidé mon prochain. » dit-il en s'éloignant de sa mère, elle lâche un soupir elle sait qu'il s'est retenu de dire que c'était elle qui lui avait demandé. Il est allé conter sa mésaventure à Angel suite à des de supplications multiples. Il finit toujours par se confier à Angel, elle est la seule personne vers qu'il se tourne. Des lèvres posées sur sa joue, un simple contact qui fait rosirent ses joues. « Merci pour tout Theo. » il plante son regard dans le sien, elle lui sourit tendrement. Il ne devrait pas continuer à la fréquenter, sa joue droite en a subi les conséquences une fois. Lui qui est droit et attacher aux règles, paradoxalement il est attiré par les personnes qui lui sont interdites. « Ce n'est rien. » prononce-t-il suivi d'un haussement d'épaule, sentant son cœur palpité le rend... bizarrement différent. « Pourquoi continuer à me voir ? » ses doigts viennent effleurer la légère marque encore visible sur sa joue, à ce contact il baisse ses yeux sur sa main. « Car tu es incroyablement mauvaise en mathématiques. » ses lèvres s'étirent d'un léger sourire, ils continuent dans un silence mortuaire à se fixer. Doucement, comme à la recherche d'un moment de tendresse, leurs lèvres s'effleurent, aériennes. Une simple caresse, ne franchissant aucune barrière. Le visage du génie se baisse. « Je devrais y aller. » dit-il en se levant brutalement. Il n'a pas l'habitude d'être aussi proche, vulnérable. « Theo attends. » Et pour la première fois il est parti sans résoudre un problème.
« Theoden Hopkins où cours-tu ainsi ? » la voix d’Angel le stoppe devant la porte, il se retrouve vers elle avec un large sourire. « Nulle part. » leurs prunelles se croisent, elle lui lance un regard suspicieux et s’approche de lui.[color:0364=##6666ff] « Tu sors sans m’emmener ? » il hausse les épaules. « Depuis quand mes sorties t’intéresses ? » dit-il en rigolant légèrement, elle se met sur la pointe des pieds pour planter ses prunelles dans siennes, il arque un sourcil. « Tu devrais être couché à cette heure. » dit-il en posant un baiser sur son front, il s’éloigne d’elle. « Ne dis pas à nos parents que je suis sortis. » et il ferme la porte, Angel reste bouche bée. Depuis quand Theoden Hopkins sort au beau milieu de la nuit ? Lui qui est toujours penché sur ses livres, sur toutes ses feuilles. La raison qui le pousse aussi loin de cette habitude est simple à deviner, lui-même le conçois. « C’est mal de faire attendre une demoiselle. » Elle affiche ce sourire qui lui rend, elle s’avance vers lui et à sa hauteur elle lui murmure. « Un génie comme toi devrais le savoir. » Leurs lèvres s'effleurent et finissent dans un tendre baiser. Dans un mélange de secret et de passion, sa relation avec Blake a étrangement duré. Quelques années, jusqu’à ce qu’ils se séparent par eux-mêmes. Ils étaient trop différents pour rester plus ensemble. Et surtout lui jeune et fier, il était trop passionné, déjà, par la cryptologie. Peut-être l’a-t-il laissé trop de côté à un moment donné. 5 ans d’amour, leur a suffi. « Tu n’es pas triste ? » lui murmure Angel, les prunelles de Theo se posent dans les siennes. « Tout à une fin. » dit-il avec un léger sourire, elle lui attrape la main. [color=#6666ff« Si j’étais à ta place je pleurais toutes les larmes de mon corps dans tes bras. »[/color] il sert un peu plus sa main dans la sienne. « Je ne suis pas toi. » Oui Theo ne montrera jamais la moindre faiblesse, il restera impassible et froid. Réfléchissant en silence sur le sujet, et trouvant enfin de compte que les relations amoureuses ne sont pas faites pour le génie. Une conclusion faite par un cœur légèrement blessé, et un esprit embrumé. « Tu as raison. » et malgré tout elle vient se blottir contre lui, car elle se doute qu’il en a besoin, d’un peu d’affection et de réconfort, même s’il ne le montre pas. Il est parti étudié, il était plus souvent enfermé dans sa chambre, dans son bureau. Ses parents n'ont jamais regretté leurs choix, mais plutôt qu'il se renferme encore plus. Il apparaissait parfois dans la cuisine, dans les couloirs. « Bonjour. » disait-il avec cet air habituel et ses pupilles qui les perçaient. Angel, elle, avait toujours eu le privilège de rentrer dans son bureau, de s'asseoir et de pouvoir avoir une discussion avec lui ; Lorsqu'elle remarquait une certaine tension dans sa voix elle se stoppait et lui laissait toujours une tasse de café. « Merci. » elle a toujours cru que c'était dû à sa déception amoureuse qu'il s'était enfermé ainsi. Mais plus tard elle avait constaté qu'elle s'était trompée. La cryptologie c'était simplement sa passion, comme d'autre aimait faire du football. « C'est trop compliqué. » il lui sourit « je te l'avais. » dit-il d'un ton amusé. Pendant un temps elle s'est demandé s'il ne la considérait pas comme une imbécile. Mais Theo l'a toujours aimé pour ce qu'elle est. « Comment as-tu pu penser ça ? » dit-il en lâchant presque sa tasse de café, il la regarde hausser les épaules et il vient vers elle pour l'enlacer. « Je t'aime Angel, tu es ma sœur cesse de croire le contraire. » il sent ses mains s'agripper à son dos. Tous les deux ils étaient bien, avec l'âge ils ont fini par s'habituer aux allées et venues d'adolescents, parfois Theo en voyait à peine.
2002-2003 Lorsqu'il a vu pour la première fois les jumeaux Moriarty il rentrait de cours et surtout de quelques jours d'absences, sans être passé chez lui. Ses bouclettes en bataille, il comprend alors l'urgence qu'Angel avait mentionnée un peu plus tôt dans son message. Par habitude et politesse il affiche un de ses plus beaux sourires, tendant la main d'abords au garçon et ensuite à cette belle rousse. « Tu n'es pas très présentable. » souffle sa mère avec un large sourire, elle vient l'enlacer pour le saluer de ses jours d'absences. « Pardonne-moi. » dit-il en posant ses prunelles sur les deux adolescents dans son salon, à leur allure Theoden a remarqué qu'ils ont dû en voir des vertes et des pas mûres, comme tous les enfants qu'il a rencontrés. « Bienvenue dans la famille. » dit-il avec un large sourire, et comme à son habitude il s'éclipsa dans sa chambre après être passé sous la douche. Theo n'était pas du genre à s'étaler à ce sujet, il était toujours ainsi : aux premières rencontres, il passait comme un coup de vent. Cela n'a jamais changé. « Tu ne les trouves pas bizarre ? » chuchote la brunette, il sourit amusé et se tourne vers elle. « Non. » un haussement d'épaule, à vrai dire il ne leur a pas vraiment accordé d'importance, trop préoccupé sur des codes sur lesquels il travaillait. « Evidement tu restes cloîtré ici ou quelque part ailleurs. » un ton de reproche qui fait tourner les prunelles du futur cryptographe sur sa sœur. « Ils en ont simplement bavés. » elle ouvre de grands yeux. « Mais tu as vu comme ils sont proches !!! » elle hurle un peu sur le dernier mot, elle qui chuchotait depuis le début. « Dans la misère on s'accroche à ce que l'on peut. Ils ont été pendant trop longtemps seuls, ce qui explique leur relation. » Il se stoppe un instant, légère réflexion. « Parait-il que les jumeaux peuvent être affectés par les mêmes maladies et les mêmes souffrances, ressentir des envies identiques, manifester des intérêts communs. Même si des kilomètres les séparent. Ne les jalouse pas. » Il lui sourit et pose ses prunelles sur son travail. « Tu as sans doute raison. Et je ne les jalouse pas, je trouve ça étrange c'est tout. » Angel s'est faite au jumeau, Theo aussi. Tous les deux les appréciaient comme leur propre famille, ces temps-si, il était bien plus présent que les autres années. Il regardait cette rousse avec trop d'importance, elle était sa sœur il ne devait pas oublier ce fait.
« Tu vas lui offrir quoi ? » dit-elle en l'interceptant d'une de ses nombreuses fuites hors de la maison. « Tu le découvriras en même tant qu'elle. » « Aurais-tu peur que je lâche le morceau ? » un haussement d'épaule et une mine qui en dit long, elle hésite à le pousser net à ronchonner. « Tu as raisons. » Et il disparait une fois la porte fermée. « Elle a quel âge déjà ? » « 18 ans. » un léger sourire, un ami, bien que le terme soit trop poussé, le regard d'un drôle d'œil. « Son livre est un chef-d’œuvre. » il acquiesce d'un sourire. « Je te rappelle pour te donner ma décision. » Theo voulait simplement rendre Morgan heureuse, qu'enfin un de ses rêves se réalisent. Peut-être que oui, il avait des sentiments étranges à son égard. Mais ce n'est pas véritablement par amour qui l'avait poussé à faire ça. Qu'il revient le jour de son anniversaire avec la première édition de son livre, qu'elle lui saute dans les bras, ce contact lui fait toujours loupé un battement. Alors, peut-être oui il avait des sentiments déplacés pour elle et son extravagance. Mais il ne le devait pas. Elle était sa sœur. Il savait ce que ce genre de sentiment pouvait engendrer, son père lui en a déjà parlé. Trop souvent, Theo jurait de n'avoir aucuns sentiments déplacés envers elle, bien qu'il soit un génie il était encore un jeune adolescent en ce qui concernait l'amour. Il devait cesser de l'aimer, taire ses sentiments. Il l'avait promis à son père, indirectement. Et pourtant ses prunelles resteront à jamais à la recherche de cette chevelure rousse.
Un soir il n'a pas pu s'empêcher de venir la toucher des bouts des doigts et leurs lèvres ont fini par s'effleurer. Et leurs deux souffles se sont mêlés dans la fraîcheur de la nuit, caché de tous. C'est un baiser caressant qui devient presque morsure. Un baiser dans lequel il n'y a plus aucune intimité. Leurs consciences et leurs raisons se sont faites dévoré par la douceur de l'heure, du moment. Que faisait-il ? Elle avait sept ans de moins que lui, si jeune, pourquoi a-t-il fallu que son cœur bat pour elle ? Tout est si compliqué tout devient compliqué avec lui. Un sourire pour la rassurer de son inquiétude. Il ignore ou cela allait les mener. Mais il était fou d'elle. Il l'embrassait là quand personne ne regardait, il lui caressait discrètement le bras lorsqu'elle passait à côté de lui. Des gestes attendrissant, cachés de tous.
« Morgan. » il l'attrape par le bras, ferme la porte derrière eux. Il est si compliqué désormais de croiser sa route sans pouvoir la toucher, la serrer contre lui. Un sourire radieux illumine le visage de la rousse, il se colle un peu plus à elle. Leurs lèvres se cherchent, comment toujours, leurs langues se trouvent. Tant de passion dans une si petite pièce. « Je dois y aller. » lui souffle-t-elle à l'oreille, leurs mains ont du mal à se séparer mais il le faut. Il quitte à son tour la pièce et il croise Angel, ce regard qu'elle lui lance le rend un instant nostalgique, pourquoi ? Tant d'évènement se déroulent à cet instant dans sa vie qu'il a l'impression de perdre le fil, le contrôle de sa propre vie. Il s'assoupit un instant sur le vieux bureau en bois, il sent des mains dans sa nuque, sur ses épaules. Des lèves se posent sur sa joue, une voix trop familière qui lui murmure que cela ne lui ressemble pas. Lorsqu'il se redresse elle s'installe sur ses genoux, lui caresse le visage du bout des doigts, elle meurt d'envie de lui demander ce qui le tracasse mais elle sait qu'elle n'en tira rien, que mensonge. « Les nuits sont trop courtes. » dit-il en plongeant sa tête dans sa nuque, fermant les yeux. Trop de divertissement, de passion qui l'éloignait de son travail. Elle suggère qu'elle devrait s'en aller pour le laisser travailler. Il la rattrape. « Non reste. » un sourire et elle prend place sur sa chaise, il quitte parfois son travail des yeux pour la regarder. Toujours aussi belle et si jeune, lui est si vieux.
« Tu devrais accepter de partir au Japon. » ses prunelles se posent sur son camarade, un soupir s'extirpe de ses lèvres. « On en a déjà parlé. » souffle-t-il en remettant son intention sur son travail. Depuis quelques jours, déjà, on lui avait proposé de partir, loin, quitter tout ça. Il a toutes les raisons valables de de s'en aller pour son métier, sa passion. Elucider encore plus de codes, de mystères. Cependant, une personne le retient plus que les autres, un amour interdit et pourtant savourer. « Theo écoute je te connais depuis des années déjà. Tu dois partir, tu n'es pas fait pour rester coincé ici. » Il s'interrompt pour le laisser répondre, réagir. Il pose son regard sur lui, et s'enfonce un peu plus dans sa chaise. « Ne gâche pas ta vie pour une amourette, ou ce je ne sais quoi. L'amour ne dure jamais, tu te laisseras d'elle ou inversement. » Il pose ses mains sur le bureau tandis que lui réfléchit, essayant d'élucider ce fait. La réponse à ce problème lui est douloureuse, évidente mais terrible. « La cryptologie est plus importante qu'une histoire d'amour, surtout pour toi. Tu es un génie tu n'es pas fait pour vivre tranquillement ici. » Leurs regards se croisent, son ami lit dans les prunelles de Theo qu'il l'a toujours su, il le niait pour elle, il se croyait capable de pouvoir tout quitter pour Morgan. Il s'est simplement trompé, il l'aime mais les priorités de Theo sont différentes des autres, il est différent. Il voulait agir simplement en restant à ses côtés, mais pour un génie la simplicité n'est pas intéressante. « Je sais. » finit-il par lâcher d'un ton sec, dépité de sacrifier son amour pour son métier.
2003-2005 « Morgan, écoute-moi. » elle regard avec toute son innocence de jeune fille éperdument amoureuse, il baisse les yeux, incapable de faire face à cette beauté juvénile, il sourit nerveusement en collant son front contre le sien. Il est difficile de dire adieu à la personne que l’on aime « On ne peut plus continuer, Morgan. » son sourire s’éteint, s’évapore. La lueur pétillante dans ses prunelles fait place à la mélancolie. Il regarde dans ses iris le désastre qu’il a commis. Les mots sont si dure parfois. Surtout quand ils proviennent d’un être aimé, il sait qu’en prononçant ces mots il allait détruire une partie d’elle. Mais il ne peut pas lui demander de l’attendre, de partir avec lui, car il ne serait pas resté pour elle. « Je suis désolé. » dit-il simplement, un paradoxe pour lui dire que tout est fini. Il embrasse ses lèvres une dernière fois, pour garder souvenir de ce toucher. Il est parti, la laissant derrière lui, s’en volant loin d’elle, de tout. Elle se serait laser de ses rides.
« Theoden Hopkins. » dit-il en tendant la main à son nouvel employeur, il la lui saisit. « Oui je sais qui vous êtes. » C’est sous ce simple échange que son travail au Japon allait commencer. Une nouvelle culture, de nouvelles personnes à connaitre. Un nouvel amour ? Non son esprit encore amoureux ne pouvait pas effacer l’image de Morgan…pleurant toutes les larmes de son corps. Quel genre d’homme est-il pour avoir laissé son amour derrière lui ? Tant de douleur heurta son cœur, une peine incontrôlable mais maintenant il était à des milliers de kilomètres d’elle. Il a culpabilisé tous le long de ce vol interminable. Il a choisi son a avenir à son amour qui semblait ne pas avoir de futur.
Tokyo-Dublin, les yeux regardant l'affichage des vols, il n'en revient pas qu'il repart pour son île natale. Combien d'années se sont écoulés ? Deux, il en n'est plus très sûr. Ses prunelles océan se referme un instant, pourquoi combien de temps allait-il resté ? Trop peu sans doute. Morgan, ce nom le hante jusqu'à la moelle. Il a trop souvent pensé à elle, et aux choses qu'il lui avait dites, promis. Ce qu'ils partageaient. Il baisse son regard, serre ses billets dans le creux de sa main. Il l'a abandonné. Triste fait, avait-il simplement la crainte qu'elle le trouve trop vieux ? Un sourire apparaît sur ses lèvres et il s'avance vers les hôtesses d'accueil lorsque son avion est appelé. « Bon voyage monsieur. » il sourit à la jeune femme. Et il s'envole vers Dublin, et roulera ensuite vers Wexford. « Je suis rentré. » Angel lui saute au cou, elle reste longtemps dans ses bras là à pouvoir enfin le toucher, le serrer contre elle. « C'est si bon de te voir en vrai. » dit-elle en se détachant d'elle, il sèche ses larmes avec ses pouces et lui sourit. Sa mère se loge à son tour dans ses bras, suivis de son père qui était impatient de savoir comment était la vie au Japon « Tu as maigris. » mentionne sa mère, en le regardant de haute en bas, il gausse les épaules. Peut-être oui, à trop travailler on oublie de se nourrir. Il a toujours mentionné que la digestion le ralentissait. Allé savoir quand il mangeait. Angel est venu le voir peu de temps après, elle lui a juste laissé le temps de s’installer. « Tu ne lui rien dis sur ton retour ? » il se tourne vers elle, prétextant ne pas comprendre sa question. « Morgan et Beren, viennent dans quelques jours. » il baisse ses prunelles, bien sûr qu’il le savait, il s’en doutait. « Et ? » un léger sourire, Angel arrive à sa hauteur. « Morgan, Theo !! Elle va être là. Comment comptes-tu t’y prendre ? » Un sourire sur ses lèvres, il passe sa main sur son visage. « Je n’en sais rien Angel. » souffle-till à voix basse, c’est la première fois qu’elle entend ce mots sortir de sa bouche. Elle s’en veut alors de l’avoir bousculé tant alors qu’il venait à peine d’arrivé. « Fais ton plus beau sourire. » dit-elle en fermant la porte derrière elle. Lui s’échoue sur son lit, fatigué et pourtant il n’a pas fermé l’œil de la nuit.
Elle est là, devant lui, toujours aussi belle. Ses prunelles ne peuvent quitter sa silhouette des yeux, son visage qui lui a tant manqué. Angel le regarde, il pose alors le sien sur elle et lui sourit. Deux ans sans l'avoir revu, sans la toucher. Il comprend le comportement de Beren, trop bien même, il a quitté sa soeur, son tout. Il a de bonnes raisons à lui en vouloir. Maintenant Theo devait aller à la rencontre de Morgan, qui restait simplement debout là. Il s'approche d'elle et pose ses lèvres sur sa joue, comme si rien ne s'était passé entre eux, que ce n'était qu'un rêve trop vieux. « Bonjour Morgan. » dit-il de sa voix suave, il lui sourit comme à son habitude. Que peut-il faire ? Rien. Il lui a sans doute détruit le coeur en s'en allant sans explication. La seule solution qui s'offre à lui, à eux est de faire comme si leurs lèvres ne se sont jamais rencontrées. Elle est là, assise à sa place habituelle, ses prunelles la dévorent du regard. Tous ses sentiments le submergent et il est incapable de résoudre ce foutu code, si simple à ses yeux, mais son cerveau semblait buté sur quelque chose, quelqu'un... Lorsqu'elle s'en est allée, il a tout foutu par terre, par énervement sans doute. Et puis peu à peu ils ont retrouvé ce qu'ils avaient avant que...qu'ils ne dérapent. Oh il est difficile de résister à un soir comme celui-là. Et il a croisés ses prunelles cette nuit-là, il l’a longtemps regardé. Il réfléchissait simplement trop, et il se souvient du nombre de remarque sur ce fait. Il s’est jeté sur ses lèvres comme un cannibale en manque de chair fraîche. Dans toute cette passion, ce désir il la soulève en la posant sur l’îlot central, ses jambes l’entourent. « Tu m’as manqué. » souffle-t-il, Theo n’a pas le droit de prononcer de tel mot, il sait qu’elle va encore trop s’accrocher à lui, trop l’aimer. Comme lui l’aime. Enfin leurs langues se retrouvent. Et puis c'est une danse souple, comprise des deux côtés. Un mouvement naturel, comme si leurs vies avaient été faites uniquement pour cet instant. Il ne peut plus se détacher d’elle. Il prononce les mots qu’elle a sans doute espérer de lui entendre dire avant. Il la regarde s’en aller, il l’aime tant.
Elle est là contre lui, elle dessine de petits cercles sur son torse. Les prunelles dans le vide, il est si heureux mais moins que les autres jours passés. Un fait est revenu à l'attaque, brisant son idylle avec la rouquine. Cet appel l'a mené à cette dure réalité. « Morgan, je retourne au Japon... à la fin du mois. » il la sent se crisper, retenir un sanglot peut-être, il pose ses lèvres sur son front. Elle lui dit alors qu'il l'avait prévenu que tout ne durerait pas. Et lorsqu'elle lui a demandé quand il reviendrait il l'a regardé droit dans les yeux. « Je ne sais pas. » et elle semblait si triste de ne pas avoir de réponse, de temps à espérer qu'il revienne. « Ne m'attends pas Morgan, continue à faire ta vie. » et il l'embrasse tendrement. Et dans son coeur, son esprit il sait ce qu'il va faire, et fera toujours. Il sait comment cela va finir. Il s'en ira loin d'elle, de tout, de sa famille. Il était inutile de lui demander de resté tout le monde savait sa décision, personne ne pouvait le retenir même Morgan. Et quelques jours Theo est parti comme il est arrivé, un sentiment d'amertume l'envahie comme la première fois où il s'est envolé vers le Japon. Leur amour est plus doux que l'oubli.
2005-2011 Sa carrière, il aurait tout quitté pour elle, même la femme qu'il aime, deux fois. C'est une passion, un fou dans son boulot. Incapable de sacrifier son métier pour l'amour. « Besoins d'aide ? » il lève à peine ses prunelles de son travail, nul besoin qu'il ouvre ses lèvres pour savoir la réponse. Depuis son retour d'Angleterre, il est devenu bien plus austère, froid. Désormais, il supporte difficilement la lenteur d'esprit chez autrui. « Je vois, excuse-moi de mon intrusion dans ton cercle privé. » la porte se referme. « Je suis Theoden Hopkins et je travaille toujours seul. » les injures de son ami vienne jusqu'à ses oreilles. Un léger sourire, il ne s'est jamais préoccupé des critiques qu'une personne peut lui faire. Il ne vit que pour son travail.
« Que faites-vous ? » il attrape les poignets de cette petite femme qui s'est approchée trop de lui, dont lèvres affichent un sourire aguicheur. « A votre avis ? » leurs prunelles se fixent un court instant, avant que leurs lèvres ne se rencontrent, il se recule une nouvelle fois. « Arrêtez donc de vous accrocher aux souvenirs de votre ancien amour, il est loin et vous a sans doute oublié. » ses doigts desserrent ses poignets qui se libèrent, une nouvelle rencontre de leurs lèvres, il reste insensible l'image de Morgan le hantant toujours, un nouveau baiser, oublié. Un léger sourire apparaît sur ses lèvres comme à chaque fois qu'il trouve la réponse à un fait. Ses lèvres finissent enfin par s'entrouvrir, partageant un baiser avec cette brune. « Oubliez-la. » ses doigts se mêlent dans sa chevelure, leurs corps fusent de désir incontrôlable. Il doit juste l'oublier. Loin des yeux, loin du coeur.
« Theo regarde-moi. » ses doigts vernis se posent sur sa joue, ses prunelles viennent percer son regard. « Ne soit pas comme ça avec moi. » elle le supplie, il soupire et s'éloigne légèrement. Elle le retient en glissant sa main dans sa nuque, cherchant ses lèvres en vain. « J'ai vraiment besoin d'être seul. » dit-il à voix basse, se reculant d'un pas, il ne peut plus. « Theoden s'il te plait. » elle le supplie, il regarde, impassible, ses larmes coulées sur ses joues. Il a eu tort en entreprenant une liaison avec cette brune, elle n'a été qu'une femme de substitution, qui lui a permis d'effacer ses blessures, ses peines. Il l'a aimé, il n'y a pas l'ombre d'un doute mais...Maintenant qu'il est soigné, il ne sent plus le besoin de l'avoir à ses côtés, ses sentiments se sont éteints. Ses baisers n'ont plus d'effet sur lui, son touché est froid, transparent. « Je suis désolé. » il la regarde de la façon qu’il lui est interdit, pas dans cette circonstance où il la quitte. Elle pleure, il en est désolé, il ne voulait pas la blessé. Ses lèvres viennent à la rencontre de son front. Ses doigts s’agrippent à sa chemise. « Ne me quitte pas. » une nouvelle peine qu’il inflige à une femme, elle pleure à l’avoir trop aimé. « Pardon. » il la serre contre lui, bien qu’il soit le bourreau de son cœur, il ne lui doit que des excuses. De lui avoir donné l’espoir, qu’un jour elle et lui allait former quelques choses de puissant. Peut-être qu’un instant cela lui à effleurer l’esprit mais un ancien fantôme hante son esprit lorsqu’il pense à l’engagement. Comme une ancienne cicatrice, elle lui est réapparue comme une illusion. Il pensait l’avoir oublié après toutes ses années, mais il est si faible. Ils se sont quittés ainsi, sur des mots dur à entendre, à encaisser, les larmes d’une et la culpabilité de l’autre. Il s’en veut de l’avoir fait trop souffert, elle s’en veut de l’avoir trop aimé. Elle est partie en n’y dessellant plus aucun espoir d’une nouvelle relation dans le regard de Theoden, et pourtant il avait toujours cette leur dans ses prunelles qui avait l’effet qu’on lui pardonne malgré tous les maux qu’il a pu causer. « Je pourrais jamais t’oublier. » lui avait-elle dit, ces mots ont pris un sens quand un jour elle est revenu le voir, le ventre rond. Il a reconnu simplement l’enfant, y est allé le jour où l’a mis au monde. Et il lui donnait de l’argent au défaut de ne pas pouvoir offrir sa présence régulière. Il avait une petite fille.
2013 [i] « Tu repars donc en Angleterre. » elle se présente encore devant lui avec un léger sourire. Il ne répond pas, ses yeux la regardent un court instant. « Je venais seulement voir comment tu allais. » il sent ses doigts effleuré sa joue, elle sourit et laisse sa main retombée le long de son corps. « Tu devrais venir la revoir. Elle a besoin de toi. » Elle vient un peu plus près de lui, il reste statique, ses prunelles simplement posées sur elle. Est-ce une erreur de l'avoir quitté ? Non, il ne fait jamais d'erreurs... « Je passerai. »dit-il. Elle sourit et le remercie d'un léger baisé sur la joue, n'ayant plus le droit de toucher à ses lèvres. Surtout par crainte qu'il ne la repousse à nouveau. « Merci. » elle lui a demandé de rester lorsqu'il avait leur fille au creux de ses bras, il n'a pu que poser son regard sur elle et lui chuchoté qu'il ne pouvait pas, mais reviendrait sans doute. Il finit toujours par revenir.
Le paysage défile sous ses prunelles, ses traits tirés par la fatigue. Il ne dit jamais quand il revient, sans doute par crainte qu'un fait lui en empêche. Qu'il se sent obligé de rester au lieu d'aller à la rencontre de sa famille. Il ne compte plus les années qui les ont séparés, elles sont beaucoup trop nombreuses. Il n'y que Angel qui le rattache à son ancienne vie, à sa famille. Elle est la seule qui ne lui en a jamais voulu d'être parti aussi loin. Le pardon est venu avec le temps, sa mère lui donnera toujours son pardon quant à son père il a fini par comprendre son choix, et tous sont ravis d'entendre sa voix à l'autre bout du fil, quand il pense à donner des nouvelles. Chose futile mais dont Theo n'y pense jamais, il est capable de disparaître pendant des semaines entières de l'existence d'une personne, sans donner de nouvelles et un matin il réapparaît comme s'il n'était jamais parti. [i]« Welcome to Wexford. » le moteur du véhicule qui l'a déposé s'éloigne. Il est là devant chez lui, il n'a simplement pas choisi n'importe quel jour pour réapparaître. Il voulait être certain de la revoir. Leurs regards se sont enfin croisés après 7 ans d'absence, d'ignorances. Et sentiments qu'ils pensaient trop vieux, ont refait battre légèrement son cœur. Est-ce simplement la joie de retrouver sa famille ? De la revoir rayonnante et plus belle que jamais ? Où-est-ce ses sentiments éteins qui se ravivent ? Il est trop tôt pour le savoir.
Dernière édition par Théoden A. Hopkins le Sam 10 Aoû - 20:39, édité 19 fois
Naevia R. Lance
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Sujet: Re: (+) All the lights go down as I crawl into the spaces Mer 7 Aoû - 20:16
Je suis heureuse de voir qu'on choisit l'amour à la Chandler et Monica
Bienvenue sur le forum Theo ce scénario est trop cool. Sherlock est trop cool. Benedict est trop cool. Enfin, t'as compris...quand est ce qu'on se marie ? Si tu as besoin de quoi que ça soit, n'hésite pas pis t'as raison, le violet c'est la vie
Morgan L. Moriarty
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Sujet: Re: (+) All the lights go down as I crawl into the spaces Mer 7 Aoû - 20:20
Bonjour et bienvenue. Si tu as des questions, tu peux nous envoyer un mp. Bye....
Spoiler:
.... MERCIIIII de prendre mon scenario, je t'aime, je t'adore, je t'adule. Comme je te disais, j'ai commencé la construction de mon temple en ton honneur héhé. Bon courage pour ta fiche et de toute façon t'as ma boite à mp, mon skype, mon adresse mail, mon téléphone portable donc je pense que tu trouveras le moyen d'avoir des réponses si tu as des questions
Edit : Nae de mon coeur BACK OFF
Théoden A. Hopkins
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Sujet: Re: (+) All the lights go down as I crawl into the spaces Mer 7 Aoû - 21:50
Nae et bien merci sweety, oui tu as bien raison cumby est magnifique et ce scénario est le meilleur qu'il soit nous marier? je ne suis pas sûre que Momo me pardonne si j'acceptes ce superbe avance, engagement... on en reparle en privé sache que j'ai souvent raison My love ça je le savais déjà, nul besoin que je prenne ton scénario pour que tu m'aimes si? oui oui je viendrai te harceler PARTOUT!! Mouhahahahaha bon tu me supportes déjà, je ne peux donc pas te dire que tu vas devoir subir ce "supplice" j'attends ce temple avec impatience, tu m'en verras des photos?
Naevia R. Lance
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Sujet: Re: (+) All the lights go down as I crawl into the spaces Mer 7 Aoû - 22:40
Théoden A. Hopkins a écrit:
Nae et bien merci sweety, oui tu as bien raison cumby est magnifique et ce scénario est le meilleur qu'il soit nous marier? je ne suis pas sûre que Momo me pardonne si j'acceptes ce superbe avance, engagement... on en reparle en privé sache que j'ai souvent raison
promis, je garderai notre mariage secret
Invité
Invité
Sujet: Re: (+) All the lights go down as I crawl into the spaces Jeu 8 Aoû - 8:35
SHERLOCK ! Aaaaaaaaah ! Benedict est juste tellement cute. Il a un charme indescriptible, anyway j'approuve ! Bienvenue parmi nous ! et bonne suite pour ta fiche. Momo, t'as intérêt d'être heureuse hein ! Sinon avec Nae, on t'le vole !
Théoden A. Hopkins
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Sujet: Re: (+) All the lights go down as I crawl into the spaces Sam 10 Aoû - 21:26
Yeah Cumby est sexy merci à toi Wyatt, Colin est trop sex aussi tu as vu love, si tu ne me laisses on me vole occupe toi bien de moi hein **
Morgan L. Moriarty
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Sujet: Re: (+) All the lights go down as I crawl into the spaces Sam 10 Aoû - 21:51
hé oh vous deux là Cumby est à moi et Théo est à Morgan, compris ? Ce qui est bien c'est que, n'étant pas du genre jalouse Je ne me vengerai pas
Ceci étant dit, queffzbegvqberu est à peu près l'idée générale que je me fais de ta fiche. Sérieusement. Bon, Théoden est un personnage de la mort qui tue (mes chevilles vont très bien, et les tiennes ?) et tu as réussi à en faire ce que je voulais
Bref. Je t'aime et je te valide (et Morgan va violer Théo pour fêter ça ! ), je te laisse entre les mains de notre très cher guide de survie dans cette impitoyable jungle qu'est badparents ! HAVE FUN
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Sujet: Re: (+) All the lights go down as I crawl into the spaces
(+) All the lights go down as I crawl into the spaces
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